Par cette action, les personnels veulent dénoncer les situations récurrentes de violence dans l’établissement liées aux mesures politiques qui imposent une soit-disant rentabilité.
Il leur est demandé, comme dans de nombreux établissements de santé, d’accueillir le maximum de malades dans un minimum de lits ouverts avec le minimum de personnel. Ce n’est plus supportable !
Ces personnels disent "non" à la banalisation des actes de violence. Les services hospitaliers, comme les autres services publics, sont le réceptacle de la misère et de la colère, conséquences des politiques sociales menées, depuis des années, par des énarques bien à l’abri dans les ministères...